A l’occasion du 3 mai, la journée internationale de la liberté de la presse des dizaines de journalistes à travers les cinq continents ont réclamé la libération de leur confrère Algérien le journaliste Khaled Drareni arrêté le 7 mars alors qu’il couvrait une manifestation au centre-ville à Alger.
Dans une vidéo diffusée par Amnesty international, les journalistes se sont relayés, tour à tour, pour réclamer la libération d’un confrère qui n’a « fait que son métier ». Et parce qu’il n’ y a pas de démocratie sans la liberté de la presse, 29 journalistes à travers le monde ont rappelé le droit fondamental des Algériens à connaitre ce qui se passent chez eux et ont dénoncé les pressions sur la presse indépendante.
29 journalistes ont rappelé que le journalisme n’était pas un crime et que Khaled n’a pas sa place derrière les barreaux mais dans sa rédaction avec ses collègues.