Au lendemain de l’investiture de Abdelmadjid Tebboune, les Algériens sont à nouveau dans la rue pour rappeler que leurs revendications n’ont pas été satisfaites.
L’élection d’un président dans les conditions du scrutin du 12 décembre ne convainc pas même si la proposition de dialogue du nouveau chef de l’Etat divise aujourd’hui la classe politique.
Pas loin de la mosquée al Rahma où les manifestants du centre ville ont pris l’habitude de se réunir, un premier groupe de manifestants donne le ton: « makach al char3iya » (pas de légitimité).