La « Réponse solidaire européenne à la Covid-19 en Algérie » est financée par l’Union Européenne à hauteur de 43 millions d’euros.
Le projet « Réponse solidaire européenne à la Covid-19 en Algérie » a engagé un partenariat avec 7 associations de la société civile afin de mener des campagne de sensibilisation de la population sur la vaccination et les gestes barrières contre la propagation de la pandémie de Covid-19, a annoncé un communiqué du PNUD Algérie.
Ces structure ont été retenues suite à un appel à partenariat lancé en avril dernier. Il s’agit des associations « ASEPA » (Association Scientifique des Etudiants en Pharmacie de l’Université d’Alger) ; « Bariq21 » (Skikda) ; « El Hayet » (Alger) ; « Idrak dessciences médicales » (Msila) ; « INSAF » (Sétif) ; « Main Tendue » (Tamanrasset) et « Santé Sidi el Houari » (Oran).
En vertu de ce partenariat, le projet de réponse solidaire européenne accorde un appui à ces associations pour la réalisation de campagnes à destination du grand public et d’autres, ciblant plus spécifiquement des catégories vulnérables de la population, sur la nécessité de l’acte vaccinal et le maintien des gestes barrières pour lutter contre/éviter/endiguer la propagation de la maladie. Les financements serviront à l’acquisition de matériels de protection et la production de supports de sensibilisation.
La « Réponse solidaire européenne à la Covid-19 en Algérie » est financée par l’Union Européenne à hauteur de de 43 millions d’euros, et mise en œuvre par le PNUD Algérie en partenariat avec le Ministère de la Santé. Le projet vise à soutenir les efforts des pouvoirs publics pour enrayer la propagation de la pandémie de Covid-19 dans le pays et en atténuer les effets.
Selon la même source, le projet en question prévoit une réponse intégrée en 3 volets :
1 – la dotation des structures sanitaires publiques en équipements médicaux, en matériels de dépistage précoce, et en équipements de protection au profit du personnel soignant ;
2 – la formation d’environ 5 000 cadres et praticiens de la santé publique (médecins, infirmiers, techniciens) à l’utilisation des équipements et à la prise en charge des patients ;
3 – la communication et la sensibilisation de la population, à travers notamment des partenariats avec la société
civile active sur le terrain.