L’avant dernier numéro d’une 9e saison solide du Café Presse Politique avait des relents d’espoir devant un tableau anxiogène.
Les invités du café presse politique ce jeudi 21 juillet – l’édition a été reporté de 24 h pour permettre de remplacer Khaled Drareni retenu par empêchement de dernière minute – ont du répondre à la question de Ihsane El Kadi : « Entre Incendies, Covid et machine répressive de l’article 87 bis, l’été 2021 a été infernal. Quelles sont les raisons de penser que l’été 2022 sera plus clément ».
Amina Haddad (artiste militante) , Amira Bouraoui (gynécologue, militante) Yazid Rebbouh (comité Ali Ghediri), et Ali Boukhelef ( Journaliste), se sont prêtés au jeu durant prés d’une heure. Il en ressort une appréciation contrastée de la conjoncture. Elle laisse penser que le pire ne peut pas se reproduire. Mais montre bien que les germes de l’apocalypse ne sont enfouies aucun des fronts évoquées : la répression sécuritaire, les incendies, le Covid.
L’occasion d’ouvrir de nouvelles fenêtres dans le débat comme celle de « la Kabylie une année après », et d’analyser les responsabilités de ce qui s’y est passé sous un angle peu médiatisé jusque là. En prime d’une discussion aussi grave par ses thèmes que détendue par sa tonalité, une divergence sur le poids de Rached dans le Hirak de 2021.
Entre qui et qui ? Il faudra cliquer et voir.
Le CPP en vidéo c’est ici.