Invité mercredi 29 juin au Talkshow de Radio M, Café presse politique (CPP), le militant politique et porte-parole du parti politique non agréé, l’Union démocratique et sociale (UDS), Karim Tabbou, a estimé que « le pouvoir n’est pas en mesure ou n’est pas prêt pour accorder plus de libertés aux citoyens, ni à l’occasion de la fête de l’indépendance, ni à une autre occasion ». Le militant appelle à dénoncer les arrestations dont sont victimes les détenus d’opinion et du Hirak.
Au-delà des espérances et des bienveillances, le pays continue à vivre une grave crise politique. Les libertés des gens ne sont pas encore respectées, le peuple algérien est presque mis en résidence surveillée et les libertés sont encore en garde à vue.
Pourtant, le militant politique estime que « tous les caches misères, les spectacles et les maquillages ne peuvent pas cacher la triste réalité d’un pays rangé par la corruption, d’un système politique qui continue de considérer que la gestion par le tout sécuritaire est le seul moyen de gestion des affaires des Algériens ».
Le journaliste Ali Boukhelef, a ,de son côté, déclaré qu’il voit mal « comment les pouvoirs publics vont revenir sur les décisions prisent depuis le début et comment ils vont appliquer le processus politique qu’ils ont engagé ».
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