Le talk politique, qui a commenté plusieurs guerres depuis 2014, met sur la table tous les scénarios de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, pour l’Algérie.
L’actualité du 8 mars comme marqueur de l’Histoire – en marche ou à l’arrêt – du Hirak a été, avec notamment Amina Haddad, le premier menu du CPP autour de Khaled Drareni. La journée internationale des droits des femmes a marqué les différents moments du mouvement populaire en 2019, 2020, et 2021 puisqu’à chacune de ces dates l’espace public a été occupé par les femmes. La répression est passée entre temps à un stade inédit en Algérie par temps de paix et les priorités ont changé. D’ou la naissance du front contre la répression et pour les libertés démocratiques.
Tout cela se passe dans l’interstice d’une crispation soudaine de l’Histoire. La guerre est de retour sur le continent européen, épargné depuis 1945 en dehors de l’intermède de l’éclatement de l’ex-Yougoslavie. L’invasion de l’Ukraine par La Russie ouvre une problématique de géopolitique très complexe, qu’explique Cherif Dris.
Ses conséquences pour l’Algérie ? Elles sont contradictoires que ce soit pour l’économie que pour la gouvernance politique du pays. Les scénarios d’une guerre prolongée, d’une inflation planétaire des matières premières et des produits alimentaires et d’un désordre mondiale des chaines de production est un saut dans l’inconnu.
A sorties multiples. Le CPP a tenté d’en explorer quelques unes avec leur incidence sur la confrontation en Algérie entre un projet de transformation démocratique, aujourd’hui contrarié par la force sécuritaire et un projet de survivance de l’autocratisme, désormais en voix de durcissement et d’isolement inquiétant.
Le CPP est à suivre ici en vidéo.