L’Unesco a validé mercredi l’inscription des « traditions socioculturelles » de l’iftar –le repas de rupture du jeûne musulman– au patrimoine immatériel à la demande de l’Azerbaïdjan, l’Iran, l’Ouzbékistan et la Turquie, a annoncé l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture.
L’iftar fait partie des traditions communautaires dont l’importance a été reconnue par le Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel réuni depuis lundi à Kasane, au Botswana, rapporte le quotidien libanais « L’Orien le jour ».
Marquant la rupture du jeûne, « il prend souvent la forme de rassemblements ou de repas, renforçant les liens familiaux et communautaires et promouvant l’entraide, la solidarité et les échanges sociaux », a expliqué l’Unesco.